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Ils ont dit

Pascal Zuberbühler, gardien de l’équipe suisse et du FC Bâle «La religion et la manière dont on vit la foi sont une affaire de mentalité. En Amérique du Sud, on vit la foi de façon beaucoup plus ouverte que chez nous. Ça ne me pose aucun problème.»

Pascal Zuberbühler,
gardien de l’équipe suisse et du FC Bâle
«La religion et la manière dont on vit la foi sont une affaire de mentalité. En Amérique du Sud, on vit la foi de façon beaucoup plus ouverte que chez nous. Ça ne me pose aucun problème.»

Fabio Coltorti,
gardien de l’équipe suisse et des Grasshoppers de Zurich
«Chacun est libre de croire à sa façon. Les Brésiliens sont unis par leur foi en Dieu et cela renforce leur esprit d’équipe.»

Louis Crayton (29),
Gardien au FC Bâle
«Jésus est mon seul modèle. J’aimerais que ma vie et mon attitude le reflètent. Si je devais choisir entre Jésus et une carrière de footballeur professionnel, j’opterais pour lui sans hésiter. Le football peut t’apporter de la popularité. Cette dernière reste pourtant éphémère et ne donne pas un sens à la vie, pas plus qu’elle ne donne le bonheur.»

Paulo Sergio (29),
ancien attaquant du Bayern de Munich et de l’équipe brésilienne du Mondial 1994
«Sur mes autographes, j’écris volontiers un verset tiré de la Bible : “À quoi sert-il à un homme de gagner le monde s’il perd son âme ?” (Matthieu 16, 26) Lorsque j’aurai quarante ans et que j’irai acheter mon journal au kiosque, les gens auront oublié qu’il y a eu un jour un footballeur du nom de Paulo Sergio.»

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