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Trois Romands à l’affiche cet été

Pour sa campagne d'affichage, Alphalive met en scène trois Romands bien de chez nous. Portraits

Au mois d’août, un millier d’affiches inviteront les Romands à une soirée de présentation des cours Alphalive. Les rencontres permettant de (re)découvrir la foi chrétienne dans les Églises catholiques, évangéliques et réformées locales. Originalité de cette campagne, elle ne met pas en scène des modèles sortis d’une banque d’images, mais des Romands qui ont testé les cours avec profit.

Eloignés de Dieu ou des Églises
Katja, Yannick et Robert ont tous trois participé à un cours Alphalive. À deux doigts de perdre la foi, parce qu’ils se sentaient éloignés de Dieu ou qu’ils avaient une mauvaise image des Églises et des chrétiens, ils ont décidé de vérifier leurs préjugés en participant aux cours Alphalive.
«Avant ce cours, je croyais déjà un peu en Dieu. Mais je ne savais rien du Christ, et j’ignorais que je pouvais avoir une relation personnelle avec Dieu», raconte Katja, une Suisse allemande venue à Nyon il y a six ans pour des raisons professionnelles.
Robert, cadre d’une entreprise d’arts graphiques, explique qu’il ne s’était pas posé de questions sur Dieu : «J’ai reçu une éducation religieuse, mais je n’ai jamais ouvert la Bible que j’avais reçue à mon mariage.»
Yannick, institutrice et jeune maman, a toujours fréquenté l’Église réformée. Lorsque sa paroisse a annoncé la tenue d’un cours Alphalive, elle y a vu une opportunité de vérifier si elle ne pouvait pas se rapprocher de Dieu. «J’ai toujours été à l’Église, mais la vie avait pris le dessus et je me sentais éloignée de Dieu», se souvient-elle.

La foi, qu’est-ce que ça change ?
Katja, Yannick et Robert ont trouvé des réponses à leurs questions. «À travers les cours Alphalive, j’ai trouvé un sens à mon existence, un Dieu d’amour que je ne connaissais pas comme ça», explique Katja qui se dit reconnaissante de pouvoir dialoguer en tout temps avec Dieu. «La vie n’est pas plus facile aujourd’hui, mais je sais que Dieu me garde et me conduit». Et la Bible est, selon ses dires, le plus complet des livres de management qu’elle connaisse. Elle y puise de précieux conseils.
Robert pense que le matérialisme nous empêche de nous poser les questions fondamentales : «C’est dans les moments moins faciles qu’on fait une prière, sans trop s’en rendre compte», explique-t-il. Le cours Alphalive lui a permis de se réconcilier avec Dieu : «Aujourd’hui, je me sens mieux avec moi-même et mon regard sur le monde et les autres a changé». Yannick n’aurait jamais pensé que sa foi puisse pareillement reprendre vie : «J’ai découvert la présence de Dieu et j’éprouve un réel plaisir à prier et à lire la Bible. C’est un sentiment vraiment nouveau».

À l’affiche
De là à poser pour les affiches d’Alphalive, il y a un pas que ces trois croyants ont franchi. «Par envie de témoigner de ma foi», explique Yannick. Pour Katja, c’est par reconnaissance à Dieu pour ce qu’il a apporté à sa vie. (cw)


Alphalive : dès le 8.9.06, la foi pour les nuls

Pour la deuxième année consécutive, Alphalive et les Églises catholiques, évangéliques et réformées invitent la population à une présentation des cours Alphalive. Cette soirée a lieu cette année le 8 septembre, articulée autour d’un repas sympa. L’an dernier, quelque 15000 personnes ont répondu à l’invitation de 500 Églises un peu partout en Suisse et ont suivi les dix rencontres proposées dans la foulée.

Les cours Alphalive ont la particularité d’être proposés par les différentes confessions chrétiennes. En Suisse, où plus de 50 000 personnes ont fréquenté l’un des 2500 cours mis sur pied jusqu’ici, mais également dans plus de 150 pays où plus de huit millions de personnes ont participé aux cours organisés depuis quinze ans.

En quelques soirées, les cours Alphalive permettent d’aborder autour d’un repas convivial les bases de la foi chrétienne. La discussion occupe une place importante et chacun peut y exprimer son avis. «J’étais le plus contestataire des invités, mais j’ai trouvé un grand respect et une écoute sincère», se rappelle Robert. De son côté, Yannick s’est réjouie de pouvoir exprimer ses sentiments sans crainte de choquer ou de décevoir.

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